29janv. 2024

Harleen

Le récit est linéaire et se fait selon le regard de Harleen. Les cartouches décrivent ses pensées. Cet ouvrage est composé de beaucoup de textes avec des planches présentant des bandes de formats différents et variés. Certains dessins débordent des cases. On y trouve des planches entières, des vignettes avec plans rapprochés, des très gros plans sur des parties du visage des personnages (les yeux, les mains, la bouche...). Les onomatopées sont très utilisées.

J'ai trouvé que l'hstoire est lente et n'a pas beaucoup d'actions. Je ne suis pas un amateur de comics et de super-héros mais j'ai apprécié l'atmosphère sombre renforcée par les couleurs utilisées, le noir, le rouge et le marron. Cette bande dessinée devrait intéresser les personnes aimant l'univers des comics.

J'ai bien aimé la présentation de la planche en double page où l'on voit Harleen à son bureau en train d'écrire ses rapports. Les vignettes sont présentées en arc de cercle où chacune d'elles présente un de ses entretiens avec un patient.

Les traits des dessins sont fins et les personnages sont très expressifs avec des détails sur leur visage.

L.G

29janv. 2024

Blanc Autour

Le récit est assez linéaire pendant les trois quart de la BD mais vers le dernier quart, il y a une succession d'évènements qui rend le récit plus plaisant. La majorité voire la totalité du récit se fait selon le regard de l'auteur. Cela apporte une diversification des personnages, des évènements et donc plus de richesse au niveau de la lecture. Dans cette BD, j'ai beaucoup aimé l'histoire qui est racontée car c'est une histoire vraie. Ce n'est pas juste de la lecture, du loisir mais ça permet de s'enrichir sur nos connaissances historiques. J'ai aussi beaucoup apprécié le rebondissement de la fin lorsque l'on croit que tout est fini et que l'école est détruite. On pense alors qu'ils ont perdu alors que 2 pages après on les voit toutes entrain d'enseigner à d'autres enfants comme elles avant. Les seuls points qui m'ont déçu, c'est l'apparition de l'enfant sauvage et de Mariam car l'on n'a pas une réelle explication de ce qu'ils font là surtout l'enfant sauvage qui est un personnage présent dans au moins la moitié de la BD. La vignette que j'ai choisie se trouve à la page 92. Est présent sur cette vignette l'enfant sauvage qui se prend une balle de fusil dans le ventre. J'ai particulièrement aimé ce passage, car de base, cet enfant est en pleine relation avec la nature, à chaque fois il arrive à s'échapper des mains des blancs, ça lui donne l'impression d'une sorte d'invincibilité et donc le fait qu'il meure fait un choc. De plus il y a un côté marrant avec cette vignette, coïncidence: deux ou trois pages avant il était en train de nager et comme par hasard l'endroit où il meurt, est l'eau. LCB

29janv. 2024

Nellie Bly : dans l'antre de la folie

Le récit est construit avec des retours en arrière : la BD est divisée entre le présent (Nellie Bly à Blackwell) et le passé (l'histoire de Nellie Bly) toujours racontée du point de vue de celle-ci. J'ai bien aimé cette BD car elle dénonce les maltraitances faites au femmes de Blackwell et sans doute encore aujourd'hui, je recommande donc chaudement cette BD. A la page 149, nous pouvons voir Nellie Bly au tribunal pour témoigner des horreurs de Blackwell. J'apprécie particulièrement le discours de l'homme au manteau vert qui les dénonce également. On y apprend également que les mauvais traitements durent depuis presque 40 ans et que le directeur de l'asile a propagé de fausses informations.

A.C

29janv. 2024

Critique de la B.D. "Nellie Bly"

Le récit se construit de façon linéaire car ça nous raconte ce qui s'est passé dans sa vie. C'est un point de vue interne car quand il y a des retours en arrière pour parler de ces souvenirs le narrateur parle à la première personne du singulier. C'est un livre qui est tiré d'une histoire vraie. C'est une bande dessinée, qui a des planches, des vignettes et bien plus de choses qu'une bande dessinée quelconque. Le point négatif que je dirais c'est que les couleurs sont sombres, pauvres. Je conseillerais cette B.D. aux personnes qui aiment lire car elle fait 160 pages ce qui est long pour une B.D., mais aussi aux personnes qui aiment les histoires inspirées d'une histoire vraie. J'ai choisi de parler de la vignette 5 de la page 23 car à ce moment de l'histoire on peut voir que Nellie est en train de parler avec le juge, on dirait qu'elle est folle, elle veut qu'on lui rende ses troncs. Tous le monde dans la salle rigole, se moque d'elle il y en a même un qui suggère qu'on lui l'envoie à Blackwell. C'est le début de son histoire, on ne sait pas encore qu'elle n'est pas réellement folle. Les couleurs sont plutôt sombres le plan est un cadrage en plongée. Ce que j'aime dans cette vignette c'est la mise en scène avec le personnage principal et ce que je déteste est le fait que les couleurs soient sombres et qu'il y a trop d'onomatopées représentées.

M.B.

29janv. 2024

La différence invisible

La différence invisible se construit de manière linéaire, principalement du point de vue de l’autrice, Julie Dachez, qui partage son expérience personnelle à travers le personnage de Marguerite. Le récit suit chronologiquement les évènements de le vie quotidienne de Marguerite. Le point de vue de l’autrice apporte au récit, de l’authenticité.

J’ai apprécié cette BD car le sujet m’a plu. J’ai aimé la manière dont l’autrice a sensibilisé sur l’autisme, et aimé découvrir le quotidien de cette maladie. Je recommanderais cette BD pour que les lecteurs potentiels en apprennent plus sur cette maladie et puissent peut-être la comprendre d’avantage .

La dernière vignette de la page 21 m’a touchée, je ne saurais dire si je l’ai aimé ou détesté , car elle nous montre la façon dont les gens peuvent être méchants avec des personnes « différentes ». Cette vignette montre 2 femmes qui critiquent Marguerite en disant qu’elle ne doit sans doute pas avoir d’amis.

SG

29janv. 2024

A travers

Nous observons la vie d’un astronaute, vers une vie banale, ordinaire. Nous le voyons vieillir menant une vie simple faite de jardinage, d’ observations des insectes et passant du temps avec sa famille. La naissance de sa petite fille Judith, la mort de son père précédant sa propre fin, comme le verre de la loupe se brise. Il s’ agit du récit d’ une vie presque banale d’ un homme comme un autre avec une famille, des rêves et des souvenirs. Au début de chaque évènement, une datation et une indication précise du lien en bas de page accompagnent chaque première illustration, ce qui permet d’ en déduire l’ âge du personnage et ses divers déplacements. Ça apporte au récit de la précision et de la crédibilité. En règle générale, sur les pages de droite, les dessins représentent ce que voit le héros. Très souvent les contours des dessins représentent la forme des ouvertures à travers lesquelles notre héros porte son regard. Cet ouvrage ne contient pratiquement aucune phrase et pourtant je peux percevoir toute la simplicité que l’ écrivain veut nous faire ressentir. J’ ai apprécié les illustrations dessinées d’ une façon simple et en même temps pleines de couleurs, la manière dont l’ auteur a choisi de représenter sur une double page notre héros regardant par une embouchure puis la vue qu’ il a au travers de celle-ci. J’ ai également aimé le récit de la vie du héros, de son rêve d’ enfant qui en grandissant se réalise et de tous les chamboulements plus tard. L’ apparente simplicité du déroulement de la vie d’ un homme m’ étonne et m’ interroge sur le sens de la vie. Le retour aux sources du personnage une fois âgé me surprend et veut peut être signifier l’ importance du retour vers des choses naturelles à reprendre à la fin d’ une vie. En revanche j’ ai moins apprécié d’ être maintenu dans l’ ignorance des noms des personnages, de la place qu’ ils occupent dans cette histoire. Pour conclure ce livre plaira aux amateurs de dessins, aux jeunes lecteurs même s’ ils ne perçoivent pas toute la profondeur du récit. J’ apprécie la simplicité de cette grande case, pas besoin de mots ni de sons et pourtant comme dans le reste de l’ ouvrage, l’ évènement reste parfaitement identifiable. EG

29janv. 2024

La différence invisible

Le récit est construit principalement avec une structure linéaire en décrivant de manière séquentielle la vie de Marguerite, cependant il peut y avoir des éléments de suspense. Le point de vue est interne puisqu’il est concentré sur les pensées de Marguerite. Cela apporte de la précision sur ce que Marguerite ressent.

Dans la page 91 on voit Marguerite et son copain en voiture pour partir à Brest. Son copain parle d’un bar, où il y a de la musique, du monde… Cela fait tellement paniquer Marguerite qu’elle fait une crise d’angoisse, elle explique à son copain qu’elle n’en est pas capable. Il ne comprend pas sa réaction et se met en colère. Je trouve que cette scène représente l’incompréhension des personnes qui vivent avec elle. J’ai trouvé ce moment touchant. GC

29janv. 2024

Critique littéraire sur ''A TRAVERS'' PR

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29janv. 2024

Blanc Autour

Je suis mitigé car j'ai adoré le début avec Sarah dans la classe avec les autres filles blanches et que Miss Crandall annonce qu'au printemps les filles blanches ne reviendront pas mais que l'école n'accueillera que des jeunes filles de couleur. Puis vers la fin, cela m'a semblé long je n'étais plus trop dedans car beaucoup de livres ressemblent à ces histoires. Page29 Comment oublier cette page! J'ai adoré! Pour commencer Madame Crandall dotée d'un charisme impressionnant dit bien d'écouter ce quelle va dire avec des mots cruciaux "ce sera tout pour aujourd'hui" à ce moment j'ai pensé à une chose forte. Que va t il se passer? Elle affirme bien que l'école va fermer durant les vacances, puis elle ajoute "vous ne reviendrez pas au printemps" puis en touchant l épaule de Sarah "l'école n'accueillera que des jeunes filles de couleur" c'est délicat de la part de cette dame car elle n'a pas peur des répercutions que cela peut impliquer avec les parents des filles blanches.Je trouve ça courageux, osé, impressionnant et surtout moins inquiétant pour la suite de l' éducation de Sarah et des autres filles de couleur

29janv. 2024

Harleen

Le récit est construit sur une base linéaire avec par moments des retours en arrière. L'auteur joue également sur le suspense de l'histoire car nous ne savons comment le docteur Quinzel va agir du jour au lendemain. Dans cet ouvrage nous suivons le point de vue d'Harleen, donc du personnage principal. Ce point de vue nous plonge directement dans le récit car nous vivons les émotions et les actions avec elle. Dans ce livre j'ai aimé l'histoire car je l'ai trouvé intrigante grâce à son suspense et ses personnages qui étaient intéressants. J'ai également apprecié les illustrations qui rendaient le texte et les émotions plus vivantes. Pour finir le registre du fantastique avec des super-héros m'a beaucoup plu car cela rend l'histoire plus palpitante, tout comme l'époque choisie qui est d'actualité avec des hommes politiques, les journaux télévisés, les médicaments pour soigner les gens... En revanche j'ai trouvé que pour une bande-dessinée de super-héros il manquait de l'action, du combat par moments ce qui pouvait rendre la lecture ennuyante. J'ai choisi de décrire la planche qui est sur les deux pages, elle nous montre Harleen tirant sur M. Bronson pour sauver le Joker d'un potentiel tir de pistolet. Cette situation prise dans un plan d'ensemble nous montre que le docteur Quinzel passe du côté des méchants en tuant un gardien de la police. En arrière plan nous voyons ces souvenirs repasser et comme si ils se fissuraient pour montrer ce changement de camp.

29janv. 2024

critique BD Harleen

Cette BD ma énormément plu, j’ai beaucoup aimé le parallèle suggéré entre folie et amour. La lecture était agréable. La BD était remplie d’intrigue sur les actions des personnages ce qui m’a plu. Ce que j’ai moins apprécié de la BD est l’atmosphère qui donne une impression de lourdeur, sombre et oppressant. Graphiquement, ça m’a plu, la couverture est magnifique, les illustrations sont parfaites. J’ai choisi la première page du livre,on aperçoit un personnage, Harleen marchant dans les rues de Gotham, derrière elle apparaissent des chauve-souris ; on peut voir à son visage qu’elle prend peur, sur la 3ème planche on voit un second personnage apparaître, assis au sol entrain de se protéger. J’ai pris cette page car le début de l’histoire nous intrigue, on se demande ce que fait le personnage au sol, ce qui nous donne envie de savoir la suite de l’histoire. S.M

29janv. 2024

CRITIQUE BD HARLEEN

J'ai aimé lire cette BD, elle est passionnante et il y a de l' action. La description est bien structurée. Notamment j'ai trouvé que la BD est violente. Je ne la conseillerais pas pour les personnes "sensibles" car cela est quand même violent. Je la conseillerais car elle est intéressante et on ne s'en lasse pas. Aussi le côté négatif du Joker ne ressort pas assez selon moi. Je trouve que Harleen s'est fait trop manipuler.



Page 127 : Il y a un côté sans case : d'un côté il y a une seule image et de l'autre côté il y a 3 cases délimitées avec des inter-cases. Dans cette planche il y a différents plans comme le plan rapproché. J'ai aimé cette page car elle contient beaucoup de dessins. E.I

29janv. 2024

Critique B.D. Nellie Bly

Le récit est principalement raconté du point de vue de Nellie Bly, la protagoniste de l’histoire. On découvre les évènement à travers ses yeux et on suit ses aventures traumatisantes. Cela apporte une perspective unique au récit, on peut ressentir les émotions de Nellie Bly tout au long de l’histoire. Nellie Bly est très intrépide et courageuse. Les illustrations sont très bien dessinées et les illustrations rendent le récit plus détaillé et on est plus impliqué dedans. Je recommande de lire cette B.D car elle offre du suspense, du mystère et de l'aventure. C’est un récit captivant qui tiendra en haleine le lecteur jusqu'à la fin. De plus le personnage de Nellie Bly pourrait être inspirant et intéressant. J'ai choisi la vignette de la page 41. Je l'ai choisie car elle est très bien faite, bien dessinée. De plus nous pouvons voir un fantôme sur la vignette et moi j'adore les histoire paranormales avec des fantômes. Sur la vignette nous pouvons voir une femme qui a l'air d'avoir été traumatisée vu l'expression sur son visage. On peut voir le fantôme la réconforter. En arrière plan nous pouvons voir l'asile immense. Pour finir je l'ai choisie car j'adore le paysage avec des espèces de tentacules sortant du toit.

29janv. 2024

La différence invisible

Ce récit est linéaire :il raconte les journées qui se suivent de Marguerite. Sa routine est exprimée par des vignettes qui se répètent, par exemple la boulangerie, son passage devant la librairie.

Cette bande déssinée est dans un format différent des albums traditionnels. En effet, elle est volumineuse avec ses 178 pages.

L'auteur utilise un jeu de couleurs pour exprimer des émotions. Au début, les images sont en noir et blanc pour évoquer la tristesse et sa vie monotone. Pour faire ressentir l'angoisse de Marguerite, l'auteur utilise des vignettes rouge et un lettrages spécifique et répété pour représenter les bruitages. Par la suite des couleurs apparaissent à partir du moment où l'héroÏne découvre qu'elle est autiste.

J'ai bien aimé, l'histoire est simple, fluide et le thème est original car peu commun. J'ai appris ce que ressentent les personnes autistes et des informations sur cette maladie. C'est pour cela que je conseille la lecture de cette bande déssinée.

La page que j'ai préféré est la dernière page 178. Elle montre Marguerite heureuse et souriante, détendue allongée dans l'herbe. Cette planche est la même que la première page mais en opposée. Dans la première page, elle était au même endroit, mais recroquevillée sur elle même et triste. La dernière est en couleur alors que la première est en noir et blanc.

L.G

29janv. 2024

Critique BD "Nellie Bly"

Le récit est construit de façon linéaire suivi de quelques retours en arrière racontant le passé de Nellie Bly et quelques évènements de sa vie avec du suspense. Le récit est fait selon le regard de l'héroïne, cela apporte au récit une dénonciation des conditions de vie inhumaines et souligne son engagement envers le journalisme d’investigation. L’histoire est très intéressante et captivante. En parallèle on découvre à quel point il était difficile de sortir de l’asile et de recevoir de l’aide par les docteurs. Mais les retours en arrière cassent le rythme de l’histoire. Je conseille cette BD car la journaliste est une femme qui n’a pas froid au yeux et possède beaucoup de courage.

O.M

29janv. 2024

Nelly Bly

Dans cette BD j'ai bien aimé le contraste entre le moment du début où l'on ne comprend pas très bien ce qu'il se passe avec Nellie, pourquoi elle est comme ça puis le moment où on la voit demander des informations et noter celles-ci sur un carnet. C'est à ce moment-là que l'on comprend qu'elle est journaliste. Je conseillerai cette BD à lire car elle délivre un message puissant par rapport aux préjudices que les femmes ont pu subir à cette époque mais aussi qu'il ne faut jamais abandonner. Page n°50: J'ai beaucoup aimé cette planche puisque que c'est a ce moment-là que Nelly Bly rentre dans une sorte d'enfer et qu'elle va pouvoir commencer son travail de journaliste. Sur cette planche, l'atmosphère générale est sombre avec des arbres sans feuilles, noircis par le temps. Au centre, une immense bâtisse ici comparée à un horrible tombeau, a dit Nellie. L.CB

04déc. 2023

A Travers

La B.D. que j'ai lue se nomme A Travers, son auteur est Tom Haugomat. Les personnages sont un homme et ses parents : le personnage principal est l'homme, il se passionne pour l'espace et les étoiles, au point qu'il leur dédie sa vie. Ça se passe de 1955 à 2026. Le récit ne se construit pas de façon linéaire bien au contraire, chaque page on apprend un nouveau " truc " sur sa vie car chaque page est une nouvelle année et cet homme grandit, change, évolue. Le point de vue est interne car le narrateur montre les évènements à travers son propre regard. Quand on lit on a donc l'impression de vivre les moments comme si c'était notre propre autobiographie. Ce n'est pas un livre qui est écrit comme une simple bande dessinée, il n'y a pas de bande, de vignette mais ce qu'il y a surtout c'est des images, on peut dire qu'il y a des planches. La bande dessinée est originale pour moi car c'est la première fois que je vois une B.D. comme celle-là, il n'y a pas d'histoire, de dialogue. C'était comme si je regardais un album photo, j'ai aimé étudier ce livre car étant donné que je ne suis pas une très grande lectrice ce récit m'a plu car je n'ai pas eu beaucoup de lecture à faire aussi l'histoire de l'homme est intéressante.

Le seul point négatif c'est que j'ai dû la lire deux fois pour bien tout comprendre, chaque étape de sa vie; et peut être que ça m'aurait aidé, si en plus du résumer qu'il y a dans la quatrième de couverture il y avait eu un paratexte avant que l'histoire ne commence.
Je conseille la lecture cette B.D. car elle se lit vite pour ceux qui n'aiment pas lire, je la conseille aussi aux personnes qui aiment les histoires autobiographiques et aux personnes qui aiment l'astronomie.

J'ai choisi de parler de la vignette page 2 " Mars 1956, Peacehealth Medical Center, ketchikan, Alaska" qui veut dire "Centre médical Paixetsanté". Sur cette vignette on peut voir un bébé dans une couveuse, on peut penser que c'est l'homme et que c'est le début de son histoire, il n'y a pas beaucoup de couleur, se sont plutôt des couleurs sombres, le plan est un peu compliqué à identifier. On dirait que c'est un très gros plan car on ne voit que la couveuse avec le bébé. Quant au cadrage de la vignette, c'est le choix d'un angle de vue hors champ, c'est à la fois une vignette et une planche. ce que j'aime dans cette planche/vignette c'est que nous avons vraiment l'impression de regarder une photo et on oublie que l'on est entrain de lire une B.D. Ce que je déteste c'est les couleurs, elle sont vraiment trop sombres ce qui donne moins envie de regarder et de lire la B.D.

M.B

04déc. 2023

A travers

Le récit est linéaire : chaque double page représente une année dans la vie du héros. Il y a une seule image par page. La page de gauche est une vue extérieure du héros ; celle de droite représente la vision de ce que voit le héros à travers justement un objet ( comme par exemple : une loupe, un appareil photo ou bien une fenêtre…) Les seules inscriptions présentes sont les cartouches contenant le lieu et la date de chaque moment dessiné. Il n’y a pas de numéro de page mais la double page qui m’a marqué est celle de l’année 2001. Elle rappelle les attentas du 11 Septembre. Ce que j’ai aimé c’est que les images parlent d’elles-mêmes en toute simplicité. On voit à gauche un plan éloigné montrant les personnages fixer la télévision et l’enfant blotti contre son père. Et à droite un plan rapproché de la scène qui se déroule à la télévision, avec les deux tours jumelles du World Trade Center de New-York en flammes. a_travers.jpg



L.G

04déc. 2023

A travers

J’ai trouvé cette bande dessinée captivante et j ai beaucoup apprécié l’assemblage des 4 couleurs (jaune, bleu, rouge et noir). Je n’ai pas aimé le fait que l’on ne suive pas l’histoire du personnage jusqu’à sa mort. Je conseille cette BD car il n’y a pas réellement de texte à lire. C’est une BD originale où c’est à nous de comprendre les images.

J’ai choisi la planche du juin 2006 où se passe la rupture définitive du personnage principal avec celle qu’il aimait. Malgré cela il a maintenu un calme émotionnel ne montrant aucun excès .

Dans la vue du personnage nous pouvons comprendre que son fils est un peu triste de le quitter. J’ai aimé la manière dont les émotions sont montrées.

C.B



04déc. 2023

Critique de Nellie Bly

Dans l’antre de la folie est une BD écrite par Nellie Bly, appartenant au genre de la bande dessinée documentaire. C’est l’histoire de Nellie Bly qui va se faire passer pour une folle afin de pouvoir mener son enquête auprès de l’hôpital psychiatrique de Blackwell à New York dans le but de voir les conditions de vie des résidentes. Elle va y découvrir un monde froid, sans humanité et très misogyne. L’histoire se déroule au 19ème siècle. Le récit est construit avec des retours en arrière à propos de la jeunesse de l’héroïne, on peut aussi voir qu’on suit le point de vue du héros, ce qui permet d’être plus dans l’histoire. On découvre des choses tout au long de l’histoire, il est difficile au début de comprendre que Nellie n’est pas vraiment folle mais qu’elle joue un rôle. J’ai trouvé l’histoire captivante, instructive et intéressante, avec un travail recherché. Les flash backs permettent de suivre l’existence de Nellie Bly, de son enfance jusqu’à la fin de l’histoire, ce qui selon moi apporte de la légèreté au texte. Cependant je ne suis pas très amateur de la façon dont les personnages sont représentés avec leurs grands yeux, je trouve que c ‘est idéaliser un peu trop les traits de caractère par une surenchère dans les expressions, cela force l’empathie. Malgré cela, cette lecture m’a fait découvrir une sacrée personnalité, une grande femme. La vignette en bas à droite page 23 est assez choquante car Nellie montre sa folie en criant « rendez-moi mes troncs » et on peut voir à travers les interjections « AHAHAH » que les gens se moquent d’elle, de plus, une personne crie de l’envoyer à Blackwell comme si la folie était dangereuse pour les autres. Je trouve le graphique intéressant car on voit la réaction à la fois choquée et amusée des personnes présentes. On voit aussi le juge qui ne sait pas quoi répondre. La cadrage est en plongée avec un plan rapproché. N.P

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