Le dernier des étés
La bande dessinée, le dernier des étés, a été imaginée par Alfonso Casas, éditée chez PAQUET. Cette histoire se passe en 2017, le personnage principal revient sur les lieux de son enfance et au fur et à mesure qu'il se déplace dans le village, il se souvient de son passé, en 1988.
Un homme se nommant Dani, retrouve des photos de son enfance en faisant sa valise. Il part trois jours dans son ancien village pour prendre les mêmes photos que celles qu'il a retrouvées, des photos de lui enfant dans son ancien village. Ces photos datent de vingt ans.
La plupart du temps, on est dans un point de vue externe, quand on le voit se déplacer dans les rues, mais parfois on bascule, pendant une ou deux images, en point de vue interne.
Il y a des retours en arrière, quand Dani passe dans les endroits de son enfance, on revient dans le passé pour voir ce qu'il a vécu.
Le livre est bien, le fait de revenir en arrière et revoir les passages de son enfance rend l'intrigue plus intéressante. L'histoire est bien construite, les couleurs, le type de feuilles choisies, par exemple, des papiers calques et des feuilles un peu cartonnées ; la forme choisie aide à s'immiscer dans le livre. Les dessins gênent parfois parce qu'ils ne sont pas uniformes, les dessins ne sont pas coloriés entièrement.
J'ai choisi deux vignettes, il n'y a pas de numéro de page mais ce sont les mêmes que la première et dernière de couverture. Je les ai choisies car, dans le livre, les deux pages se suivent, comme la première et dernière de couverture. Sur la première, il n'y a aucune bulle, aucun dialogue, juste un dessin de Dani et Alex en train de plonger dans la mer. la seconde, on ne voit que Dani fumer sur le même quai que celui d'où ils sautaient avec son ami, enfants.
