ArchivesCritiques Saison 1 2020-2021 › L'homme qui n'aimait pas les armes à feu

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27mai 2021

L'homme qui n'aimait pas les armes à feu A & L

L'Homme qui n'aimait pas les armes à feu

La bande dessinée l'Homme qui n'aimait pas les armes à feu a été écrite par Wilfrid Lupano, les dessins ont été réalisés par Paul Salomone et le jeu de couleurs par Lorenzo Pieri, elle est éditée par la maison d'édition Delcourt. Elle a pour sujet une histoire qui se déroule à l'Ouest des Etats-Unis à l'époque des westerns.

L'intrigue de cette bande dessinée nous donne l'envie d'en savoir plus sur le reste de l'histoire, mais elle n'est pas toujours facile à comprendre surtout quand on doit suivre l'histoire de plusieurs personnages en même temps. En avançant dans l'intrigue les relations et les liens entre les personnages deviennent plus clairs et plus compréhensibles avec les éléments donnés.

Le dénouement de la bande dessinée est assez inattendu et surtout surprenant, c'est comme une chute, la fin de l'histoire est plutôt ironique et comique. Il faudra alors attendre les autres tomes pour pouvoir connaître le dénouement dans sa totalité.

Ce style de bande dessinée nous a pas plu car ce n'est pas le style d'intrigue que nous aimons lire. A la fin nous n'avons pas aimé car nous sommes restées perplexes puisque nous ne savons pas la suite et la fin de cette histoire. Dans cette bande dessinée, des personnages sont clichés comme par exemple la femme qui est manipulatrice et qui utilise son charme pour plaire. Mais nous avons quand même apprécié le style graphique et les couleurs utilisées.

Les vignettes sont très détaillés et les dessins sont plutôt réalistes car ils sont très représentatifs. Au début de l'histoire les vignettes sont très colorées par des couleurs chaudes. Les couleurs sont assez vives dans l'ensemble de la bande dessinée pour attirer l’œil du lecteur.

25mar. 2021

L'homme qui n'aimait pas les armes à feu B.C

J’ai beaucoup aimé cette BD car les dessins arrivent souvent à faire ressortir ce petit côté tragique tout en ayant des couleurs joyeuses en fonction du moment. J’ai aussi admiré cette BD pour sa philosophie qui nous fait nous questionner sur des faits du monde d’aujourd’hui. Comme la question sur le port des armes. Les point fort de cette BD surtout sont, son histoire bien ficelée et sa philosophie sur la liberté du port de l’arme. Je suis satisfait d’avoir lu cette BD.

25mar. 2021

L'homme qui n'aimait pas les armes à feu A.G

J’ai bien aimé cette œuvre car la BD est bien construite, les personnages sont charismatiques et bien construits. Le scénario est intéressant et entretient le suspense. Il s'agit d'une histoire de vengeance. J’aimerais une suite car la fin est intrigante. Cette BD ressemble beaucoup à des films de cinéma, je pense à des westerns car on peut observer des scènes du livre qui se passent dans l’univers du western comme par exemple dans le saloon, dans les rues, dans le désert... On ressent aussi du suspense lorsque Madame de la Cruz est kidnappée et aussi jusqu’au moment où elle est retrouvée puisqu'il y a plein de passages d’actions et de stratégies pour avoir un plan pour la récupérer. Le personnage principal, Monsieur Hoggar, est déterminé à atteindre son but c’est pour cela qu’il convie le lecteur à croire en son objectif. l_home_qui_n_aimait_pas_les_armes_a_feu.jpg

25mar. 2021

L'homme qui n'aimait pas les armes à feu N.E

La BD est bien réalisée, les couleurs chaudes et les traits des personnages choisis par Paul Simeone rendent bien les actions des personnages ainsi que l’environnement sur le thème du far west et des cowboys. Chaque personnage a une histoire différente et chacun de ces personnages va rencontrer les autres et former une histoire super intéressante, remplie de rebondissements et de scènes d’actions intenses et pleines d’émotions. On ressent vraiment la détermination des personnages surtout quand ils sont en colère : Paul Simeone utilise des plans rapprochés sur le personnage en question et crée des effets. Par exemple, le dessinateur fait ressortir les dents, on lit des onomatopées, et au niveau du visage on perçoit le sentiment et on y aperçoit le désir du personnage.

Sinon la BD se passe au début du XXe siècle, en Arizona. Maître Byron Peck, citoyen britannique et avocat d’affaires, escorté de son acolyte, l’effrayant Monsieur Hoggaard, parcourt le désert de pierre aride et brûlant en quête d’un mystérieux papier qui pourrait changer le cours de l’histoire des Etats-Unis d’Amérique à jamais. Dans le même but, la dangereuse Margot de Garine s’associe à une bande de mexicains sans foi ni loi !

Ce que j’aime bien ce sont les Mexicains et leur détermination à piller.

18mar. 2021

L'homme qui n'aimait pas les armes à feu EJ

l_homme_qui_n_aimait_pas.jpgL'homme qui n'aimait pas les armes à feu, écrite par Wilfrid Lupano, illustrée par Paul Salomone et éditée chez Delcourt, est une bande dessinée qui raconte une histoire se déroulant dans l'ouest des Etats-Unis à l'époque des cow-boys. Dès le début, la bande dessinée montre des vignettes colorées, surtout dans les couleurs chaudes, pour rappeler que l'histoire se passe dans le désert. Les dessins sont assez réalistes et très précis. On voit qu'ils ne sont pas simplifiés et que l'illustrateur a cherché à faire dans le détail. Concernant l'intrigue, elle donne envie d'en savoir plus, même si l'histoire n'est pas toujours évidente à comprendre au début, notamment car on suit l'histoire de plusieurs personnages simultanément, qui ne semblent pas avoir grand chose à faire ensemble. Néanmoins, leurs relations ainsi que leurs liens deviennent plus clairs, à mesure qu'on avance dans l'intrigue. Enfin le dénouement est surprenant, inattendu, comme une chute, et l'histoire se finit de façon comique et ironique, et il faudra attendre les trois autres tomes pour connaitre le dénouement final. J'ai bien aimé cette bande dessinée car l'histoire est amusante et distrayante, mais aussi parce qu'elle est rapide à lire, ce qui est idéal pour ceux qui n'aiment pas les bandes dessinées trop longues. Cependant, certains personnages sont un peu clichés, comme le personnage féminin, car elle utilise beaucoup ses charmes et est très manipulatrice. On peut donc la qualifier de femme fatale. Malgré tout, cela ne nuit pas à l'histoire et s'intègre parfaitement dans le style de la bande dessinée. J'ai bien aimé la page 46, car c'est la première fois que Tim rencontre Margot, alors qu'il l'a cherchée pendant toute l'histoire, et elle part finalement avec lui.