29janv. 2024

La différence invisible

La différence invisible se construit de manière linéaire, principalement du point de vue de l’autrice, Julie Dachez, qui partage son expérience personnelle à travers le personnage de Marguerite. Le récit suit chronologiquement les évènements de le vie quotidienne de Marguerite. Le point de vue de l’autrice apporte au récit, de l’authenticité.

J’ai apprécié cette BD car le sujet m’a plu. J’ai aimé la manière dont l’autrice a sensibilisé sur l’autisme, et aimé découvrir le quotidien de cette maladie. Je recommanderais cette BD pour que les lecteurs potentiels en apprennent plus sur cette maladie et puissent peut-être la comprendre d’avantage .

La dernière vignette de la page 21 m’a touchée, je ne saurais dire si je l’ai aimé ou détesté , car elle nous montre la façon dont les gens peuvent être méchants avec des personnes « différentes ». Cette vignette montre 2 femmes qui critiquent Marguerite en disant qu’elle ne doit sans doute pas avoir d’amis.

SG

29janv. 2024

La différence invisible

Le récit est construit principalement avec une structure linéaire en décrivant de manière séquentielle la vie de Marguerite, cependant il peut y avoir des éléments de suspense. Le point de vue est interne puisqu’il est concentré sur les pensées de Marguerite. Cela apporte de la précision sur ce que Marguerite ressent.

Dans la page 91 on voit Marguerite et son copain en voiture pour partir à Brest. Son copain parle d’un bar, où il y a de la musique, du monde… Cela fait tellement paniquer Marguerite qu’elle fait une crise d’angoisse, elle explique à son copain qu’elle n’en est pas capable. Il ne comprend pas sa réaction et se met en colère. Je trouve que cette scène représente l’incompréhension des personnes qui vivent avec elle. J’ai trouvé ce moment touchant. GC

29janv. 2024

La différence invisible

Ce récit est linéaire :il raconte les journées qui se suivent de Marguerite. Sa routine est exprimée par des vignettes qui se répètent, par exemple la boulangerie, son passage devant la librairie.

Cette bande déssinée est dans un format différent des albums traditionnels. En effet, elle est volumineuse avec ses 178 pages.

L'auteur utilise un jeu de couleurs pour exprimer des émotions. Au début, les images sont en noir et blanc pour évoquer la tristesse et sa vie monotone. Pour faire ressentir l'angoisse de Marguerite, l'auteur utilise des vignettes rouge et un lettrages spécifique et répété pour représenter les bruitages. Par la suite des couleurs apparaissent à partir du moment où l'héroÏne découvre qu'elle est autiste.

J'ai bien aimé, l'histoire est simple, fluide et le thème est original car peu commun. J'ai appris ce que ressentent les personnes autistes et des informations sur cette maladie. C'est pour cela que je conseille la lecture de cette bande déssinée.

La page que j'ai préféré est la dernière page 178. Elle montre Marguerite heureuse et souriante, détendue allongée dans l'herbe. Cette planche est la même que la première page mais en opposée. Dans la première page, elle était au même endroit, mais recroquevillée sur elle même et triste. La dernière est en couleur alors que la première est en noir et blanc.

L.G

04déc. 2023

La différence invisible par B.J.

Cette B.D. se nomme La différence invisible. Elle fait partie de la collection «Mirages» et est éditée par la maison Delcourt. Elle a été écrite par Mademoiselle Caroline et Julie Dachez. La vie de Marguerite, âgée de 27ans, qui vit en couple et occupe un poste au sein d’une grande entreprise nous est comptée selon un regard extérieur. A priori, elle semble avoir une vie tout à fait normale. Mais, le moindre changement, petit bruit, la perturbent. Cette idée est appuyée par de nombreuses onomatopées. Plusieurs planches reviennent régulièrement, ce qui amplifie cette idée de routine. Je trouve l’histoire intéressante jusqu’au moment ou elle découvre qu’elle est atteinte du syndrome d’asperger car, jusqu’à ce moment le lecteur cherche à savoir pourquoi elle est si différente. Une fois le diagnostic posé, le suspens retombe. La partie supérieure de la page 116 illustre bien ce fait ; c’est un tournant dans la vie de Marguerite. En effet, pour moi, ce bâtiment représente bien l’état mental de notre héroïne. Il est formé un peu comme Marguerite l’est face aux autres et n’inspire pas confiance. Le fait qu’il y ait peu de texte est compensé par des dessins qualitatifs et expressifs. C’est pourquoi je conseillerais cette bande dessinée d’un autre genre.

04déc. 2023

La différence invisible

la_difference_invisible.jpgJe trouve que cette BD est une œuvre biographie et aussi éducative. Cette autrice montre qu’il ne faut se moquer de personne, même quand une personne peut sembler « normale » , elle peut cacher une différence. J’aimé le fait que Marguerite ait essayé de cacher son handicap afin de ne pas être jugée par les autres, mais qu’un jour, elle décide de tout changer… je trouve son attitude très courageuse avec une belle force de caractère.

Page 40 et 41 Lors d’une soirée avec son compagnon, Marguerite qui ne se sent pas vraiment à sa place, décide de partir, personne ne fait attention à elle. Une fois qu’ elle disparait, les autres la critiquent et font des réflexions à son ami en disant « elle est quand même un peu particulière ta copine, mon pauvre Florian ». Je trouve cela injuste et pas très sympa et surtout pas très franc. C’est facile de se moquer une fois la personne partie...

04déc. 2023

La différence invisible

la_difference_invisible.jpgDans cette bande-dessinée, j’ai particulièrement aimé la dernière vignette se situant à la page 120. Cette dernière montre à quel point elle est si heureuse. C’est un réel déclic pour Marguerite. En effet, dans cette même page, il y le bâtiment, où elle a pris confiance en elle, où elle est entourée de personnes qui la comprennent et qui l’écoutent. Ce lieu est un moyen, pour apaiser ses comportements. Ces grandes illustrations n’ont pas besoin de texte, on comprend très bien son ressenti. Je trouve cette bande-dessinée très bien réalisés et d’un point de vu personnel je l’ai appréciée.