29janv. 2024

La différence invisible

Ce récit est linéaire :il raconte les journées qui se suivent de Marguerite. Sa routine est exprimée par des vignettes qui se répètent, par exemple la boulangerie, son passage devant la librairie.

Cette bande déssinée est dans un format différent des albums traditionnels. En effet, elle est volumineuse avec ses 178 pages.

L'auteur utilise un jeu de couleurs pour exprimer des émotions. Au début, les images sont en noir et blanc pour évoquer la tristesse et sa vie monotone. Pour faire ressentir l'angoisse de Marguerite, l'auteur utilise des vignettes rouge et un lettrages spécifique et répété pour représenter les bruitages. Par la suite des couleurs apparaissent à partir du moment où l'héroÏne découvre qu'elle est autiste.

J'ai bien aimé, l'histoire est simple, fluide et le thème est original car peu commun. J'ai appris ce que ressentent les personnes autistes et des informations sur cette maladie. C'est pour cela que je conseille la lecture de cette bande déssinée.

La page que j'ai préféré est la dernière page 178. Elle montre Marguerite heureuse et souriante, détendue allongée dans l'herbe. Cette planche est la même que la première page mais en opposée. Dans la première page, elle était au même endroit, mais recroquevillée sur elle même et triste. La dernière est en couleur alors que la première est en noir et blanc.

L.G

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